Bernard Chocat :
[[File:logo_eurydice.jpg|80px]][[File:Logo OFB_soutien financier.png|120px]]
''Traduction anglaise : Rain tree''
Dernière mise à jour : 15/08/2023
Arbre dont la fosse de plantation a été pensée et dimensionnée en surface et en profondeur pour gérer tout ou partie des eaux de ruissellement, mais également pour favoriser le développement de l'arbre et la biodiversité, y compris celle du sol.
==Principes et variantes==
Le principe consiste à infiltrer l'eau de pluie dans la fosse de plantation en utilisant le volume de cette dernière comme volume tampon pendant la pluie. Une partie de l'eau va s'exfiltrer vers le sol profond et la nappe, le volume qui reste stocké dans le sol de la fosse sera ultérieurement évacué par [[Evapotranspiration (HU)|évapotranspiration]].
Cette solution de gestion des eaux pluviales peut se faire dans le cas de l'aménagement d'un nouvel espace, mais elle est surtout bien adaptée au cas de la réhabilitation d'un aménagement existant disposant déjà d'arbres car elle permet de traiter des arbres dont la fosse est surélevée par rapport à la voirie (dans le cas d'un nouvel aménagement il est plus simple de mettre la fosse dans une dépression, ce qui permet également un stockage provisoire en surface).
Le principe consiste à mettre à la disposition de l'arbre :
* plus de surface non revêtue autour du tronc (minimum de 10 m2 et distance au moins égale à 1,5 m autour du collet, Caltran ''et al'', 2022) ;
* plus de volume de sol pour développer ses racines en augmentant à la fois la surface et la profondeur de la fosse ;
* plus d'eau en dirigeant l'eau des voiries vers la fosse d'arbre.
Il peut consister en :
* une fosse d'arbre isolée ;
* un ensemble de fosses d'arbres indépendantes mais connectées à un même dispositif d'alimentation ;
* une fosse de plantation continue avec plusieurs arbres.
Nous ne traiterons ici que le cas des fosses d'arbres isolées. Voir l'article [[Massif enterré (HU)]] pour les autres cas.
==Mise en œuvre==
Le principe de base est simple. Il consiste à décaisser la fosse d'arbre et à créer un accès direct pour l'eau entre le caniveau et la fosse, en particulier en supprimant la bordure de trottoir (''figure 1''). La mise en place d'une [[Tranchée de stockage et d'infiltration des eaux pluviales (HU)|tranchée d'infiltration]] interceptant l'eau le plus tôt possible permet de faciliter l'infiltration dans la fosse (''figures 1 et 2''). Dans ce cas il est nécessaire de privilégier l'écoulement de l'eau depuis la tranchée vers la fosse plutôt que vers le sol profond.
[[File:fosse_arbre_principe_guide_lyon.JPG|600px|center|thumb|
''Figure 1 : Schéma de principe de l'intégration d'une fosse d'arbre dans un aménagement de voirie ; Source : Caltran ''et al'', 2022'']]
[[File:fosse_arbre_schéma_alimentation2_guide_lyon.JPG|600px|center|thumb|''Figure 2 : La mise en place d'une tranchée d'infiltration et/ou d'une [[Noue (HU)|noue]] permet de faciliter l'interception des eaux de pluie venant de la rue ou du trottoir et son infiltration ; dans le cas où l'aménagement est constitué de plusieurs fosses indépendantes ou d'une fosse continue, la tranchée peut être continue et servir à répartir l'eau entre les différents arbres de pluie Source : Caltran ''et al'', 2022'']]
Il est conseillé de couvrir la fosse d'arbre d'une végétation herbacée et arbustive pour éviter son piétinement et améliorer la biodiversité (pas toujours facile à faire accepter par les services en charge de la voirie). Le livret technique édité par Lyon Métropole : "les arbres de pluie" (Caltran ''et al.'', 2022) propose des associations d'espèces en fonction de l'implantation. il est également possible de protéger la fosse par une bordure ou une ganivelle.
De nombreux arbres urbains existants peuvent être transformés en arbres de pluie. Il est également possible d'en implanter de nouveaux, par exemple en mobilisant une partie des places de stationnement en bordure de trottoir (''figure 3'').
[[File:fosse_arbre_place_stationnement_lyon.JPG|600px|center|thumb|''Figure 3 : Supprimer une place de stationnement sur 4 ou sur 5 en bordure de voirie est souvent suffisant pour [[Déconnexion des surfaces imperméables (HU)|déconnecter]] la totalité de la surface de voirie du réseau d'assainissement ; Source : Caltran ''et al'', 2022'']]
Attention cependant, tous les arbres isolés existants ne peuvent pas être transformés en arbres de pluie. Deux conditions sont nécessaires :
* la surface perméable disponible doit être suffisante par rapport à celle de l'impluvium (rapport de 1/10 au minimum) ;
* le système racinaire de l'arbre doit être capable de supporter le dispositif arbre de pluie.
Au delà d'une communication spécifique sur l'intérêt du dispositif (''figure 4''), il est possible de proposer une gestion citoyenne des pieds d’arbre.
[[File:arbre_de_pluie_grand_lyon.png|600px|center|thumb|''Figure 4 : Les arbres de pluie permettent de sensibiliser les citoyens à la nécessité d'une gestion durable des eaux pluviales urbaines ; Source : Caltran ''et al'', 2022'']]
Pour les éléments complémentaires (cobénéfices, règles de conception, précautions à prendre, entretien), voir l'article [[Massif enterré (HU)|massif enterré]].
Cette solution fait partie des [[Solution fondée sur la nature pour la gestion des eaux pluviales (HU)|solutions fondées sur la nature]] au sens de l'[https://uicn.fr/solutions-fondees-sur-la-nature/ UICN].
Pour en savoir plus :
* Caltran, H., Sanabria, J., Goubier, P., Nait Barka, H., Henry, A. (2022) : Livret technique "les arbres de pluie" ; 31p. ; disponible sur [https://www.ofb.gouv.fr/sites/default/files/2022-12/livret_arbre_de_pluie_web.pdf https://www.ofb.gouv.fr].
[[Catégorie:Dictionnaire_DEHUA]]
[[Catégorie:Les_eaux_pluviales_et_la_ville_(HU)]]
[[Catégorie:Solutions_alternatives_et_compensatoires_(HU)]]
[[Catégorie:Génie_écologique_et_ingénierie_écologique_(HU)]]
jeudi 6 juillet 2023
Celui-ci porte son nom inscrit sur son aile postérieure : c’est le W blanc. Et comme ses chenilles consomment les feuilles des ormes, on lui attribue aussi le nom de Thécla de l’orme. Sa plante hôte principale étant décimée par le maladie de la graphiose, il est devenu moins fréquent. L’espèce est protégée en Ile-de-France, en raison du fractionnement de ses populations.
Satyrium w-album est un papillon discret qui ne quitte guère les frondaisons des ormes où il se nourrit du miellat des pucerons. Il descend parfois butiner les fleurs des ronces et du sureau yèble.
Retrouvez un autre thécla :
La Thécla du prunier
Un autre Lycaenidae :
L’Azuré porte-queue
Source :
La Thécla de l’orme, par l’Observatoire de la faune de Bourgogne
Le désert de Tatacoa, dans le centre de la Colombie, est exploré par les scientifiques depuis près d’un siècle, mais le rôle de ses habitants dans cette entreprise a été modeste.
The Tatacoa Desert in central Colombia has been explored by scientists for about a century, but the role of its inhabitants in this endeavor has been limited.
Ancrages de bateaux, aménagements côtiers, pollution, pêche de fond : la posidonie, plante à fleur [...]
Cet article Le WWF France appelle à protéger la Posidonie, poumon de la Méditerranée est apparu en premier sur Faune Sauvage.
mercredi 5 juillet 2023
Bernard Chocat :
''Traduction anglaise : Rain tree''
Dernière mise à jour : 15/08/2023
Arbre dont la fosse de plantation a été pensée et dimensionnée en surface et en profondeur pour gérer tout ou partie des eaux de ruissellement, mais également pour favoriser le développement de l'arbre et la biodiversité, y compris celle du sol.
==Principes et variantes==
Le principe consiste à infiltrer l'eau de pluie dans la fosse de plantation en utilisant le volume de cette dernière comme volume tampon pendant la pluie. Une partie de l'eau va s'exfiltrer vers le sol profond et la nappe, le volume qui reste stocké dans le sol de la fosse sera ultérieurement évacué par [[Evapotranspiration (HU)|évapotranspiration]].
Cette solution de gestion des eaux pluviales peut se faire dans le cas de l'aménagement d'un nouvel espace, mais elle est surtout bien adaptée au cas de la réhabilitation d'un aménagement existant disposant déjà d'arbres car elle permet de traiter des arbres dont la fosse est surélevée par rapport à la voirie (dans le cas d'un nouvel aménagement il est plus simple de mettre la fosse dans une dépression, ce qui permet également un stockage provisoire en surface).
Le principe consiste à mettre à la disposition de l'arbre :
* plus de surface non revêtue autour du tronc (minimum de 10 m2 et distance au moins égale à 1,5 m autour du collet, Caltran ''et al'', 2022) ;
* plus de volume de sol pour développer ses racines en augmentant à la fois la surface et la profondeur de la fosse ;
* plus d'eau en dirigeant l'eau des voiries vers la fosse d'arbre.
Il peut consister en :
* une fosse d'arbre isolée ;
* un ensemble de fosses d'arbres indépendantes mais connectées à un même dispositif d'alimentation ;
* une fosse de plantation continue avec plusieurs arbres.
Nous ne traiterons ici que le cas des fosses d'arbres isolées. Voir l'article [[Massif enterré (HU)]] pour les autres cas.
==Mise en œuvre==
Le principe de base est simple. Il consiste à décaisser la fosse d'arbre et à créer un accès direct pour l'eau entre le caniveau et la fosse, en particulier en supprimant la bordure de trottoir (''figure 1''). La mise en place d'une [[Tranchée de stockage et d'infiltration des eaux pluviales (HU)|tranchée d'infiltration]] interceptant l'eau le plus tôt possible permet de faciliter l'infiltration dans la fosse (''figures 1 et 2''). Dans ce cas il est nécessaire de privilégier l'écoulement de l'eau depuis la tranchée vers la fosse plutôt que vers le sol profond.
[[File:fosse_arbre_principe_guide_lyon.JPG|600px|center|thumb|
[[File:fosse_arbre_schéma_alimentation2_guide_lyon.JPG|600px|center|thumb|
Il est conseillé de couvrir la fosse d'arbre d'une végétation herbacée et arbustive pour éviter son piétinement et améliorer la biodiversité (pas toujours facile à faire accepter par les services en charge de la voirie). Le livret technique édité par Lyon Métropole : "les arbres de pluie" (Caltran ''et al.'', 2022) propose des associations d'espèces en fonction de l'implantation. il est également possible de protéger la fosse par une bordure ou une ganivelle.
De nombreux arbres urbains existants peuvent être transformés en arbres de pluie. Il est également possible d'en implanter de nouveaux, par exemple en mobilisant une partie des places de stationnement en bordure de trottoir (''figure 3'').
[[File:fosse_arbre_place_stationnement_lyon.JPG|600px|center|thumb|
Attention cependant, tous les arbres isolés existants ne peuvent pas être transformés en arbres de pluie. Deux conditions sont nécessaires :
* la surface perméable disponible doit être suffisante par rapport à celle de l'impluvium (rapport de 1/10 au minimum) ;
* le système racinaire de l'arbre doit être capable de supporter le dispositif arbre de pluie.
Au delà d'une communication spécifique sur l'intérêt du dispositif (''figure 4''), il est possible de proposer une gestion citoyenne des pieds d’arbre.
[[File:arbre_de_pluie_grand_lyon.png|600px|center|thumb|
Pour les éléments complémentaires (cobénéfices, règles de conception, précautions à prendre, entretien), voir l'article [[Massif enterré (HU)|massif enterré]].
Cette solution fait partie des [[Solution fondée sur la nature pour la gestion des eaux pluviales (HU)|solutions fondées sur la nature]] au sens de l'[https://uicn.fr/solutions-fondees-sur-la-nature/ UICN].
Pour en savoir plus :
* Caltran, H., Sanabria, J., Goubier, P., Nait Barka, H., Henry, A. (2022) : Livret technique "les arbres de pluie" ; 31p. ; disponible sur [https://www.ofb.gouv.fr/sites/default/files/2022-12/livret_arbre_de_pluie_web.pdf https://www.ofb.gouv.fr].
[[Catégorie:Dictionnaire_DEHUA]]
[[Catégorie:Les_eaux_pluviales_et_la_ville_(HU)]]
[[Catégorie:Solutions_alternatives_et_compensatoires_(HU)]]
[[Catégorie:Génie_écologique_et_ingénierie_écologique_(HU)]]
Un tigre à tête noire et col clair, trouvé sur une vipérine, qu’est-ce que ça peut être ? Le tigre de la vipérine, pardi !
Dictyla echii vit sur les Boraginaceae : vipérines surtout mais aussi cynoglosses, consoudes, buglosses… On trouve les adultes et les larves de cette espèce en inspectant le dessous des feuilles de leurs plantes hôtes.
Retrouvez un autre Dictyla :
Dictyla humili
Aussi long qu’un camion, le mégalodon a longtemps régné sur les mers chaudes de la [...]
Cet article On en sait plus sur le mégalodon, le requin le plus grand ayant jamais existé est apparu en premier sur Faune Sauvage.
mardi 4 juillet 2023
Réunis ce jour lors du conseil d’administration du Fonds de solidarité et d’investissement interdépartemental (FS2i), les Présidents des 7 Départements d’Ile-de-France actent aujourd’hui le lancement tant attendu des négociations du volet « mobilités » des Contrats Etat-région portant sur la période 2022-2027. Alors que le montant estimé des besoins en infrastructures est estimé à 12 milliards d’euros en Île-de-France, le Fs2i s’engage à mobiliser plus de 1,5 milliard d’euros.
Attachés à ce que ces négociations aboutissent avant la fin de l’été, les Présidents des 7 Départements d’Ile-de-France attendent désormais que l’Etat et la Région Ile-de-France ouvrent au plus vite les échanges et formalisent dès que possible les décisions. Au regard des besoins d’infrastructures, les 7 Départements évaluent à environ 12 milliards d’euros le financement des opérations en cours et les projets absolument nécessaires.
C’est pourquoi, bien que cela dépasse les responsabilités que leur a confiées la Loi, les 7 Départements d’Ile-de-France se sont déjà engagés à mobiliser plus de 1,5 milliard d’euros pour le développement des transports collectifs sur leur territoire.
La Région Ile-de-France et l’Etat doivent désormais s’engager à la hauteur des enjeux pour moderniser et développer un réseau de transport d’intérêt national avec l’ambition de réduire les fractures territoriales, de faciliter les déplacements de tous les franciliens, de garantir un égal accès à l’emploi, aux loisirs et à la culture et de favoriser l’attractivité économique de la Région-capitale.
Les membres du FS2i tiennent à ce que le futur CPER prenne en compte la réalité des territoires et les nouveaux besoins en matière de mobilité durable pour transformer les routes et développer les transports collectifs.
Les 7 Présidents et Présidente de Départements franciliens
Pierre Bédier, Yvelines
Olivier Capitanio, Val-de-Marne
Marie-Christine Cavecchi, Val-d’Oise
François Durovray, Essonne
Jean-François Parigi, Seine-et-Marne
Georges Siffredi, Hauts-de-Seine
Stéphane Troussel, Seine-Saint-Denis
Le Bulletin hebdomadaire de veille sanitaire internationale en santé animale (BHVSI-SA) est élaboré dans le cadre de la thématique Veille Sanitaire Internationale (VSI) de la Plateforme. Il est produit par un comité de rédaction regroupant des personnes de l’Anses, du Cirad, de la DGAl et de INRAE. Les informations, systématiquement sourcées, sont issues des notifications officielles des Etats, de sources non officielles (presse, internet) ainsi que d’un réseau national et international d’experts.
Le BHVSI-SA rapporte et met en perspective des signaux et des alertes en santé animale au niveau national et international. Il est publié chaque mardi et concerne les événements de la semaine précédente.
Ce bulletin n’engage que son comité de rédaction et non les organismes membres de la Plateforme. Pour toutes questions: plateforme-esa@anses.fr
Accédez à tous les BHVSI-SA
Les 5 et 6 août prochains, la 4e étape de la Coupe du monde de Natation en eau libre se déroulera dans la Seine. C'est un test grandeur nature, un « test events », des futures épreuves prévues dans la Seine pour les JOP 2024.
Les 5 et 6 août prochains, la 4e étape de la Coupe du monde de Natation en eau libre se déroulera dans la Seine. C'est un test grandeur nature, un « test events », des futures épreuves prévues dans la Seine pour les JOP 2024.
Les 5 et 6 août prochains, la 4e étape de la Coupe du monde de Natation en eau libre se déroulera dans la Seine. C'est un test grandeur nature, un « test events », des futures épreuves prévues dans la Seine pour les JOP 2024.
Les 5 et 6 août prochains, la 4e étape de la Coupe du monde de Natation en eau libre se déroulera dans la Seine. C'est un test grandeur nature, un « test events », des futures épreuves prévues dans la Seine pour les JOP 2024.
Les inscriptions au prochain Séminaire des acteurs des sites et des villes Ramsar, qui se tiendra du 27 au 29 septembre 2022 à Saint-Dizier (52), sont ouvertes !
Un gros insecte survole les hautes fougères d’un vol lourd et zigzagant. Je le vois se poser et m’en approche pour l’observer. C’est un mâle Leptura aurulenta, un longicorne dont la larve vit dans les souches des arbres feuillus. Je ploie un peu la fronde pour mettre l’insecte à mi-ombre, parce que cette douce lumière lui va bien.
Les larves de ce diptère Sciomyzidae mangent des escargots terrestres. Nous observons plusieurs de ces Coremacera marginata postés sur des feuilles de roseaux.
Les juvéniles de l’araignée Dolomedes fimbriatus chassent dans les buissons de bouleaux pubescents. Leurs flancs sont ornés d’une large bande claire. Les adultes sont plus grands et encore plus contrastés, ils vivent près de l’eau.
Cette ponte sur une feuille de roseau s’avère être celle de la magnifique réduve Rhynocoris annulatus, une punaise prédatrice que j’ai déjà rencontrée en forêt de Rambouillet.
Argiope bruennichi signe sa toile d’un stabilimentum en zigzag de soie épaisse. Un criquet imprudent saute devant nous, il est lestement emballé dans un cocon de soie.
Retrouvez les portraits des espèces citées dans cet article :
Leptura aurulenta
Coremacera marginata
Dolomedes fimbriatus
Rhynocoris annulatus
Argiope bruennichi
Découvert par hasard dans le Gard en 1869, ce spécimen quasiment unique s’est refait une beauté [...]
Cet article L’extraordinaire histoire du mammouth de Durfort, redevenu la star du muséum d’histoire naturelle est apparu en premier sur Faune Sauvage.