[image:20230509_C0417.00_00_24_04.Still002.jpg,d,small]Dès sa création, le MAC VAL a eu pour ambition de rendre l’art, des années 50 à aujourd’hui, accessible au plus grand nombre, au cœur de la banlieue sud-est de Paris. Si 20 ans après son ouverture, la renommée du musée s’étend à l’international, lié notamment à un niveau d’exigence artistique indéniable, sa fréquentation a chuté, et le public n’est pas au rendez-vous.
Face à ce constat, le Département a commandé la réalisation d’une expertise du musée, et la proposition d’axes de développement autour du travail scientifique de conservation des œuvres, et du projet scientifique et culturel du musée plus généralement.
Ainsi, après avoir analysé les atouts du MAC VAL, la collection, les aménagements architecturaux, les aménagements muséographiques, ainsi que les dispositifs culturels et éducatifs du musée, le rapport dresse un constat général, et propose plusieurs pistes pour une nouvelle orientation dont :
- le développement de l’attractivité liée à l’amélioration de l’offre de transport,
- l’amélioration de la signalétique pour rendre le musée plus visible du public,
- la réouverture du restaurant,
- le réaménagement du musée et du parcours de visite,
- l’utilisation d’outils de médiation dans les salles.
Des recommandations déjà mises en œuvre
Les recommandations transmises dans ce rapport valident des constats déjà réalisés par le Département, et qui s’inscrivent dans une volonté de développement du MAC VAL.
Ainsi, l’arrivée de Nicolas Surlapierre, en octobre 2022, à la direction du musée a d’ores et déjà permis d’engager de nouvelles orientations, pour certaines, proposées dans le rapport de mission : réouverture du restaurant, réaménagement de l’espace d’accueil du musée et du parcours de visite, développement de la signalétique intérieure et extérieure du musée…
Ces nouvelles orientations seront inscrites dans le Projet Scientifique et Culturel (PSC) 2024, document cadre, mis en place dans tous les musées labélisé « Musée de France », et rendu obligatoire pour une durée de 5 à 10 ans selon les musées.
Une ambition culturelle forte portée par le Département
Le nouvel exécutif départemental du Val-de-Marne porte une ambition culturelle forte qui vise à renforcer l’attractivité et le rayonnement culturel du territoire, et améliorer le cadre de vie des Val-de-Marnais. Cette volonté se traduit notamment par un investissement conséquent de 20,4 millions d’euros alloué à la culture et au patrimoine en 2023.
En ce sens, le Département et l’État signeront le 5 juin 2023, la première convention stratégique de coopération culturelle au MAC VAL, qui permettra de fédérer les actions afin de répondre aux objectifs de développement culturel, d’accès à la culture pour tous, d’emploi, et de rayonnement culturel du Val-de-Marne.
Cette convention, ainsi que les nouveaux axes de développement et partenariats du musée, seront présentés lors d’un point presse le 5 juin au MAC VAL, à Vitry-sur-Seine.
lundi 22 mai 2023
À la demande du Département du Val-de-Marne, une mission d’observation a été menée par la Direction générale des patrimoines et de l’architecture au Ministère de la Culture, concernant la place du MAC VAL dans le paysage des musées français, dans le but de proposer des axes d’évolution du musée.
[image:20230509_C0417.00_00_24_04.Still002.jpg,d,small]Dès sa création, le MAC VAL a eu pour ambition de rendre l’art, des années 50 à aujourd’hui, accessible au plus grand nombre, au cœur de la banlieue sud-est de Paris. Si 20 ans après son ouverture, la renommée du musée s’étend à l’international, lié notamment à un niveau d’exigence artistique indéniable, sa fréquentation a chuté, et le public n’est pas au rendez-vous.
Face à ce constat, le Département a commandé la réalisation d’une expertise du musée, et la proposition d’axes de développement autour du travail scientifique de conservation des œuvres, et du projet scientifique et culturel du musée plus généralement.
Ainsi, après avoir analysé les atouts du MAC VAL, la collection, les aménagements architecturaux, les aménagements muséographiques, ainsi que les dispositifs culturels et éducatifs du musée, le rapport dresse un constat général, et propose plusieurs pistes pour une nouvelle orientation dont :
Des recommandations déjà mises en œuvre
Les recommandations transmises dans ce rapport valident des constats déjà réalisés par le Département, et qui s’inscrivent dans une volonté de développement du MAC VAL.
Ainsi, l’arrivée de Nicolas Surlapierre, en octobre 2022, à la direction du musée a d’ores et déjà permis d’engager de nouvelles orientations, pour certaines, proposées dans le rapport de mission : réouverture du restaurant, réaménagement de l’espace d’accueil du musée et du parcours de visite, développement de la signalétique intérieure et extérieure du musée…
Ces nouvelles orientations seront inscrites dans le Projet Scientifique et Culturel (PSC) 2024, document cadre, mis en place dans tous les musées labélisé « Musée de France », et rendu obligatoire pour une durée de 5 à 10 ans selon les musées.
Une ambition culturelle forte portée par le Département
Le nouvel exécutif départemental du Val-de-Marne porte une ambition culturelle forte qui vise à renforcer l’attractivité et le rayonnement culturel du territoire, et améliorer le cadre de vie des Val-de-Marnais. Cette volonté se traduit notamment par un investissement conséquent de 20,4 millions d’euros alloué à la culture et au patrimoine en 2023.
En ce sens, le Département et l’État signeront le 5 juin 2023, la première convention stratégique de coopération culturelle au MAC VAL, qui permettra de fédérer les actions afin de répondre aux objectifs de développement culturel, d’accès à la culture pour tous, d’emploi, et de rayonnement culturel du Val-de-Marne.
Cette convention, ainsi que les nouveaux axes de développement et partenariats du musée, seront présentés lors d’un point presse le 5 juin au MAC VAL, à Vitry-sur-Seine.
La biodiversité est le tissu vivant de notre planète. Elle est à la base du [...]
Cet article 22 mai : Journée mondiale de la biodiversité est apparu en premier sur Faune Sauvage.
La biodiversité est le tissu vivant de notre planète. Elle est à la base du [...]
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La typification de trois noms dans le genre Blumea DC. (Asteraceae), à savoir, B. solidaginoides (Poir.) DC., B. floresiana (Sch.Bip. ex Miq.) Boerlage et B. dregeanoides Sch.Bip. ex A.Rich.
Typification of three names in the genus Blumea DC. (Asteraceae) viz. B. solidaginoides (Poir.) DC., B. floresiana (Sch.Bip. ex Miq.) Boerlage and B. dregeanoides Sch.Bip. ex A.Rich.
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Base de loisirs de Créteil - Ile de France
Mai 2023
Cercopis vulnerata, facile à trouver dans les jardins et les prairies, est le plus commun des cercopes de France. Il peut être facilement distingué d’une espèce proche, Cercopis sanguinolenta en observant la forme de ses taches rouges ou orange. Chez Cercopis vulnerata, celles qui sont à l’épaule se rejoignent presque à la suture des élytres, tandis que les taches près de l’apex forment sur chaque élytre une sorte de V large aux courbes généreuses.
Disparu dans les étoiles !
J’aime bien amuser les enfants avec cet homoptère dont le dessin m’évoque le masque d’un guerrier venu d’une autre planète. En progressant très lentement, on peut approcher son doigt assez près de l’animal, mais au moment où l’on ne s’y attend pas, il disparaît par surprise d’un bond si puissant que l’œil ne peut le suivre !
Retrouvez un autre cercope dont la biologie est semblable :
Cercopis intermedia
Alors que l’érosion de la biodiversité des insectes menace directement le maintien des équilibres biologiques, [...]
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dimanche 21 mai 2023
Un hyménoptère s’est posé sur une feuille d’alliaire à l’orée d’un petit bois. Je m’approche doucement, l’insecte est très actif et difficile à photographier. Il s’agit d’une tenthrède, un hyménoptère du sous-ordre des symphytes et de la famille des Tenthredinidae, pour être précis. Les symphytes ressemblent à des guêpes qui auraient oublié d’avoir la taille de guêpe.
Le grand ptérostigma noir et jaune sur l’aile et la bande claire sur le côté de l’abdomen rouge et noir m’orientent vers l’espèce Aglaostigma fulvipes.
Cette vue de face permet d’apprécier la localisation des taches jaunes et de préciser qu’il s’agit d’un mâle, la femelle n’ayant pas de jaune sur le front au-dessus de l’implantation des antennes.
Les fausses chenilles d’Aglaostigma fulvipes se nourrissent de gaillets. Le gaillet gratteron (Gallium aparine), une de ses plantes hôtes préférées, est très présent dans cette lisière.
Retrouvez une autre tenthrède :
Rhogogaster chlorosoma
Source:
Aglaostigma fulvipes – The Sawflies (Symphyta) of Britain and Ireland
Depuis 2004, l’État français autorise des tirs de loups. En 2004, quatre loups pouvaient être [...]
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